Le barbier de Séville



Auteur : Beaumarchais
Editeur : Pocket
Parution : 1775
Genre : Théâtre
Pages : 99
Pays : France
Note : 3/5

        


Le barbier de Séville est une pièce de théâtre écrite par Beaumarchais en 1775. Cette pièce fait partie des grands classiques de la littérature française. C’est le premier tome de la trilogie écrite par Beaumarchais.
         Dans cette pièce, on trouve la comte Almaviva. Très rapidement nous comprenons que ce comte est amoureux d’une des jeunes femmes de la ville ; Rosine. Cette jeune femme est la pupille d’un médecin avare et brutal qui guette, furette, gronde et geint. Mais il est également fou amoureux de Rosine et souhaite l’épouser. Il ne voit donc pas d’un bon œil les sentiments du comte à l’égard de sa bien-aimée Rosine. Ajouter à tout ça Figaro, le serviteur d’Almaviva qui va très rapidement voler au secours de son maître. Toute l’histoire consiste à savoir comment Figaro compte sauver les deux amants du vieillard méfiant…
         Le genre théâtral n’est pas forcement au goût de tous, en ce qui me concerne, c’est un genre que j’apprécie énormément, surtout quand il s’agit d’une pièce comique. Ce qui est le cas ici. Et c’est une des raisons pour lesquelles j’ai apprécié cette pièce. J’ai particulièrement aimé le personnage de Figaro qui m’a énormément fait rire avec toutes ces idées loufoques. Le docteur m’a autant énervé que faite rire, c’est donc une personne qui me laisse une impression mitigée. Je l’aime tout autant que je le déteste du fait de sa jalousie maladive. En ce qui concerne Rosine, le seul est unique personnage principal féminin de la pièce elle m’a vraiment énervé. Elle est naïve. J’essaye tout de même de me raisonner, au vu de l’époque de l’écriture, il ne pouvait pas en être autrement. Rosine a une importance dans la pièce mais pour autant, elle m’a totalement laissé indifférente. Le comte Almaviva ne m’a pas laissé de souvenirs marquants. Ce qui n’est pas forcément une bonne nouvelle pour le livre. C’est donc uniquement grâce à Figaro que j’ai apprécié cette pièce de théâtre.

         C’est une pièce que je ne conseille pas forcement aux plus jeunes. En effet, le langage du 18ème n’est pas des plus simples à comprendre. Je pense pourtant que cela reste une bonne pièce à avoir lu pour la culture générale mais ce n’est surement pas indispensable selon moi. Encore une fois, ce n’est pas non plus la meilleure pièce de Beaumarchais.

Commentaires

Posts les plus consultés de ce blog

Van Gogh

Merlin, cycle 1, tome 2 : Les sept pouvoirs de l’enchanteur

La galère d'Obélix