Le Mariage de Figaro



Auteur : Beaumarchais
Editeur : Pocket
Parution : 1778
Genre : Théâtre
Pages : 132
Pays : France
Note : 4/5

        


   



            Le mariage de Figaro est une pièce de théâtre écrite par Beaumarchais en 1778. C’est le deuxième tome de la saga de l’auteur et, tout comme le tome 1 c’est un des grands classiques de la littérature française.
         Dans cette pièce de théâtre, on retrouve les mêmes personnages que dans le premier tome. Cette fois ci l’histoire est centrée sur Figaro et sa future femme Suzanne qui apparait dans ce tome. En ce qui concerne l’histoire même, on découvre dès le début que le comte Almaviva tente de dérober la fiancée de son fidèle valet. On retrouve donc l’ingéniosité de Figaro et ses plans complètement loufoques pour déjouer les envies de son maître.
         Pour ma part j’ai préféré ce deuxième volet au premier. Il est, selon moi, plus comique. J’étais très heureuse de retrouver le personnage de Figaro qui m’avait tant plu dans le premier livre. Mais pour être honnête, il m’a quelque peu déçu ici. Je l’ai trouvé naïf et c’est un des points qui m’a un peu agacée. Il met beaucoup trop de temps à croire sa bien-aimée, il n’arrive pas à réaliser que son maître veut lui voler Suzanne. J’ai quand même eu un énorme coup de cœur pour Suzanne que je trouve très maligne et très forte. Dans un sens, elle me fait énormément penser à Figaro dans le premier volet et je pense que c’est ça qui m’a plu chez elle. En ce qui concerne les autres personnages, le comte Almaviva je l’avais apprécié dans le premier tome alors que dans ce livre-là, je l’ai trouvé terriblement égoïste. Vouloir à tout pris Suzanne et ceci malgré tout ce que Figaro a fait pour lui dans le passé. Pour Rosine, devenue comtesse, je ne la trouvais déjà pas très présente dans le premier volume mais là elle à beau être présente dans la pièce, le personnage est pour moi totalement inexistant.

         Comme la pièce précédente, je ne la conseille pas au plus jeune car le langage utilisé peut être un peu dur pour la compréhension. J’ai nettement préféré cette pièce au Barbier de Séville, car je l’ai trouvé plus accessible et j’ai plus ri à la lecture. Si vous voulez lire une pièce de Beaumarchais, c’est celle-ci que je vous conseille.

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